In Musae Veritas

19 février 2006

Fable

Je viens de terminer le jeu Fable. 14 heures de bonheur et de quêtes où le héros est en proies aux hésitations entre le bien et le mal. En fait, je me trompe, sur la totalité du jeu, j’ai cédé au mal seulement une fois, et encore, j’ai une bonne raison, c’est qu’en choisissant la bonne voie, mon héros mourait.
J'ai discuté récemment avec quelqu’un que la manière dont on se comportait dans les jeux reflétait notre personnalité. Je suis assez d’accord sur cela. Je crois bien que je suis un vrai gentil, incapable de faire du mal, sauf quand il s’agit de me protéger par instinct de survie.