Le temps est-il avec moi?
Qu'est-ce qui est le plus dur à supporter dans une rupture sentimentale?
Est-ce la séparation physique?
Est-ce la séparation mentale?
Est-ce la scission des liens de dépendance?
Est-ce la peur de faire du mal?
Dans un sursaut d'introspection purement égoïste, j'ai analysé cette question en prenant mon cas personnel comme cobaye d'expérience.
Les raisons de rupture ne sont jamais ce qui manquent. Une amie me disait: "si tu trouves sans réfléchir plus de 10 éléments négatifs chez ton partenaire, c'est que ça ne vaut pas la peine de rester avec lui". Un ami a écrit dans son blog ""Aimer ne peut être que joie et bonheur, sinon ce n'est pas de l'amour." [Jean Gastaldi, Extrait de Bonheur d'aimer]". Donc c'est la raison qui donne la justification d'une rupture.
Est-ce donc la déraison qui contrebalance la raison? Qu'est-ce que la déraison dans une rupture? L'amour? L'asservissement?
J'ai toujours recherché la personne avec qui je partagerais l'amour le plus passionnel, et le respect le plus total. Je n'ai trouvé que l'un ou l'autre séparément, mais jamais les deux en même temps. A chaque fois, la rupture a été provoquée par la raison: le manque de liens affectifs ou le manque de respect de la personne. Dans un souci de conservation de l'intégrité de ma personne, j'ai donc déclenché le menu "Fichier - Enregistrer sous - Rupture".
Après chaque rupture, j'ai souffert. Mais je n'ai pas regretté, ni eu de haine. J'ai souffert à cause des souvenirs. Les souvenirs sont ces balises que le temps grave dans notre mémoire, après une fine sélection. Je suis d'un naturel optimiste, et ma mémoire ne sélectionne que les bons moments. Les souvenirs construisent les tranches de ma vie qui font partie de ma vraie histoire, et que je garde éternellement même si je ne "garde" pas les personnes auprès de moi.
C'est donc cela le sens de la vie et de la mort. La définition de ma métaphysique est la suivante: trouver l'amour qui remplira toute une vie, et qui bravera le temps en y gravant des souvenirs qui m'appartiennent et que personne ne pourra me voler, même après ma mort.
Est-ce la séparation physique?
Est-ce la séparation mentale?
Est-ce la scission des liens de dépendance?
Est-ce la peur de faire du mal?
Dans un sursaut d'introspection purement égoïste, j'ai analysé cette question en prenant mon cas personnel comme cobaye d'expérience.
Les raisons de rupture ne sont jamais ce qui manquent. Une amie me disait: "si tu trouves sans réfléchir plus de 10 éléments négatifs chez ton partenaire, c'est que ça ne vaut pas la peine de rester avec lui". Un ami a écrit dans son blog ""Aimer ne peut être que joie et bonheur, sinon ce n'est pas de l'amour." [Jean Gastaldi, Extrait de Bonheur d'aimer]". Donc c'est la raison qui donne la justification d'une rupture.
Est-ce donc la déraison qui contrebalance la raison? Qu'est-ce que la déraison dans une rupture? L'amour? L'asservissement?
J'ai toujours recherché la personne avec qui je partagerais l'amour le plus passionnel, et le respect le plus total. Je n'ai trouvé que l'un ou l'autre séparément, mais jamais les deux en même temps. A chaque fois, la rupture a été provoquée par la raison: le manque de liens affectifs ou le manque de respect de la personne. Dans un souci de conservation de l'intégrité de ma personne, j'ai donc déclenché le menu "Fichier - Enregistrer sous - Rupture".
Après chaque rupture, j'ai souffert. Mais je n'ai pas regretté, ni eu de haine. J'ai souffert à cause des souvenirs. Les souvenirs sont ces balises que le temps grave dans notre mémoire, après une fine sélection. Je suis d'un naturel optimiste, et ma mémoire ne sélectionne que les bons moments. Les souvenirs construisent les tranches de ma vie qui font partie de ma vraie histoire, et que je garde éternellement même si je ne "garde" pas les personnes auprès de moi.
C'est donc cela le sens de la vie et de la mort. La définition de ma métaphysique est la suivante: trouver l'amour qui remplira toute une vie, et qui bravera le temps en y gravant des souvenirs qui m'appartiennent et que personne ne pourra me voler, même après ma mort.
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